PETIT TOUT du CAILLOU

Pour illustrer notre séjour sur le Caillou, de la Grande Terre aux îlots, de l’île des Pins aux  Loyautés, voici une revue synthétique des séquences capturées et assemblées par  Axelle.

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16.02.2019 – A tire d’aile

En bref

  • Date: Vendredi 15 février 2019
  • Lieu:  Nouméa > Auckland
  • Hébergement: Airbnb>Auberge
  • Météo: Pluie –22°-27°
  • Activités: Route, Vols
  • Parcours:  8’000 pas /  4200 km
  • Satisfaction: 7/10

En détail

Aujourd’hui, c’est le départ de la Mélanésie. Nous rendons les clés de l’appart ce matin vers 9h30 et au revoir Nouméa! C’est dur de quitter cet petit endroit isolé tellement unique et riche en paysages, en culture et en souvenirs.

Nous avons une heure de route pour rejoindre l’aéroport de Tontouta. Le cyclone s’est installé pour plusieurs jours, il pleut toujours et le vent s’est amplifié … c’est donc finalement plus facile de partir dans ces conditions. A 10h30, on roule depuis 40 minutes quand soudain, le trafic s’arrête complètement à 10 kilomètres de l’aéroport. Après un bon quart d’heure, on entend à la radio un flash annonçant un très grave accident devant nous bloquant la route depuis 9h20 ce matin. Le temps passe et la circulation  n’évolue pas. A 12h00, on est toujours à l’arrêt … notre décollage étant annoncé à 12h40, on commence à vraiment trouver le temps long.  Les ambulances, puis les pompiers suivis de la gendarmerie finissent par passer en trombe en direction de Dumbéa… puis les voies commencent à se dégager.  On arrive enfin à Tontuta à 12h20 où le départ est reporté d’une heure  en raison du nombre important de passager retardés par une collision frontale sur la route principale menant à l’aéroport.

On ne cale finalement pas en Calédonie, le voyage vers la Nouvelle-Zélande est donc confirmé avec un crochet vers Sydney pour une petite escale de bonnes heures. Résultat des courses, on arrive tous les 5 avec les bagages au complet à minuit et demi sur le sol néo-zélandais avec un décalage de +2h00 par rapport à Nouméa et Sydney., et +12h00 avec Paris.

On passe un petit moment aux douanes car nos bagages contiennent certaines substances illicites sur le territoire. En effet, nous avions avec nous un peu de nourriture dont un sachet de haricots rouges qui ne passe pas inaperçu. Heureusement, en remplissant le formulaire d’entrée nous avions précisé ce détail pour lequel la tolérance zéro est de mise : 400$ en cas de non déclaration, la première fois uniquement. En cas de récidive, l’amende est nettement plus élevée pouvant s’accompagner d’une peine de prison!

On quitte enfin Auckland Airport avec un taximan Coréen survolté nous amenant au City Centre pour nous déposer devant le Queenstreet backpackers vers 2h30. Après distribution des chambres, on a une nouvelle fois la chance de se retrouver loger dans deux chambres privatives de 2 et 3 lits sur le même pallier. Malgré l’ambiance encore visible dans la rue, on s’endort rapidement

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PETIT TOUT de KANAKY

Pour illustrer notre séjour en Kanaky, de la Grande Terre aux îlots, de l’île des Pins aux  Loyautés, voici une revue synthétique des séquences capturées et assemblées par Lou-Ann.

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15.02.2019 – Alerte à Nouméa

En bref

  • Date: Vendredi 15 février 2019
  • Lieu:  Nouméa
  • Hébergement: Airbnb
  • Météo: Pluie –22°-30°
  • Activités: Poste, Boutique, Aux revoirs
  • Parcours:  3’000 pas /  20 km
  • Satisfaction: 7/10

En détail

C’est le dernier week-end avant la rentrée scolaire à Nouméa, c’est pour nous aussi la fin des 42 jours de voyage en Nouvelle-Calédonie. Avec une pré-alerte cyclonique due à la dépression Oma, il est temps de faire les bagages et quitter l’île pour laisser place aux pluies tropicales de saison.

Un autre type d’alerte est affiché à l’entrée de la résidence où nous hébergeons. Certains habitants se plaignent de quelques visites gênantes dans l’enceinte du site au standing aisé . Un mot affiché dans le hall expose ces situations et le décalage existant parfois entre la population de Nouméa.

Comme le ciel reste couvert toute la journée, nous poursuivons aujourd’hui le soin des bobos et le repos avant notre prochain vol. Heureusement, la dengue a été écartée du dernier diagnostic médical, et nous pourrons donc partir plus sereinement.

Nous passons un moment à la poste centrale de Nouméa pour expédier quelques cartes postales et notre colis de 8 kilos pour la France par bateau. Avec un départ par mois, on le retrouvera dans 3 à 4 mois. D’autres affaires, comme les livres, les vêtements trop petits ou les palmes partent au secours catholique. Puis, on se rechausse chez Décathlon afin de pouvoir poursuivre les marches et les randonnées dans le prochain pays à venir.

En fin d’après-midi, nous récupérons un dernier repas vietnamiens offert par Sandra au Snack 21. Nous rencontrons Maggie la propriétaire et son mari  qui nous remettent un ensemble composé de rouleaux de printemps, de nems et de ravioles. On finira donc la soirée en compagnie de Sandra pour déguster ces chinoiseries et conclure sur notre bel épisode en Calédonie. Sous une pluie battante, nous fixons la prochaine alerte générale à 7h00 pour évacuer les lieux!

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14.02.2019 – Valentinothérapie

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  • Date: Jeudi 14 février 2019
  • Lieu:  Nouméa
  • Hébergement: Airbnb
  • Météo: Soleil –22°-30°
  • Activités: Massage, Santé, Boutique
  • Parcours:  3’000 pas /  20 km
  • Satisfaction: Stack overflow

En détail

PAS DE SECRET

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PAS DE PHOTO

13.02.2019 – Aire de Rivières

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  • Date: Mercredi 13 février 2019
  • Lieu:  Nouméa
  • Hébergement: Airbnb
  • Météo: Soleil –22°-30°
  • Activités: Parc, Santé
  • Parcours:  7’000 pas /  170 km
  • Satisfaction: 7/10

En détail

Avant de terminer notre séjour sur la belle Calédonie, nous sortons pour une escapade à une heure de Nouméa au Parc provincial de la rivière bleue.

Cet immense parc naturel et sauvage offre plusieurs options de découverte pour découvrir les rivières blanche et bleue, la faune et la flore. En voiture, canoe, VTT, randonnées avec bivouac… nous partons pour une petite visite avec notre 208 pour aborder les sentiers d’accès facile et privilégier la détente.

On commence donc le parcours par le point de vue de Guepyville qui présente la retenue d’eau formée par le barrage de Yaté et la confluence de la rivière bleue et de la rivière blanche. Bordés de petits monts recouverts de forêts de chênes-gomme, de kaoris, de houps et d’araucarias, le niveau du lac est actuellement peu élevé. Nous poursuivons la piste pour nous rendre au pont Perignon  qui traverse la rivière blanche et permet d’accéder aux sentiers de la rivière bleue. Avec sa structure en bois de 80 mètres, l’accès est limité aux piétons et aux VTTistes. Une journée entière serait nécessaire pour visiter ce côté du parc. Nous restons donc sur la partie accessible en voiture pour effectuer quelques sentiers au frais parmi les Houps géant.

En sortant de cette balade, on décide de rebrousser chemin en raison d’une poussée de fièvre et de fatigue inhabituelle. Après consultation du médecin à Nouméa, une prise de sang s’impose pour confirmer la source cet état avec probabilité de dengue et/ou d’infection d’une plaie à la jambe droite. En attendant, c’est l’aire de repos totale qui est recommandée.

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12.02.2019 – Tout coule

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  • Date: Mardi 12 février 2019
  • Lieu:  Nouméa
  • Hébergement: Airbnb
  • Météo: Soleil –22°-32°
  • Activités: Randonnées
  • Parcours:  5’000 pas /  260 km
  • Satisfaction: 7/10

En détail

Notre retour à Nouméa est l’occasion de se reposer des quatres derniers jours passés en camping. On soigne les petits bobos, les lessives et on prépare un nouveau carton de délestage pour la France. A part çà, on se la coule douce!

En fin d’après-midi, on décide de faire une escapade jusqu’à l’auberge du mont Koghi pour voir la montagne et les chalets à 30 minutes du centre. Pas de neige, pas remonte pente, mais on y trouve un menu digne de toutes les stations de sports d’hiver avec raclette, fondue ou tartifette. Il est 16h passé, on laisse donc de côté les grandes randonnées, et on part pour une heure vers la cascade. Traversant une belle forêt primaire couverte, nous sommes attentifs aux pierres et aux racines qui compliquent la progression. Nous arrivons en fin de course à une petite cascade plongeant dans une petite marmite, à peine assez grande pour se baigner.

Tandis que l’eau s’écoule … nous faisons demi-tour en admirant la vue d’en haut c’est cool!

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